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Experts : La planète contre le plastique | Jour de la Terre 2024Ìý

±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 19 April 2024

La Jour de la Terre 2024 marquera le 54ème anniversaire de l’événement annuel mondial qui célèbre notre planète et sensibilise aux problèmes environnementaux. Le thème de cette année est « Planète contre plastique », soulignant la nécessité urgente de lutter contre la crise des plastiques et visant une réduction ambitieuse de 60 % de la production de plastique d’ici 2040. )Ìý

Voici des experts de l’Université 91Ë¿¹ÏÊÓƵ qui peuvent s’exprimer à ce sujet : Ìý

Parisa Ariya, professeure James 91Ë¿¹ÏÊÓƵ, Départements des sciences atmosphériques et océaniques et de chimieÌýÌý

« L'humanité produit plus de 350 millions de tonnes de déchets plastiques par an, ce qui affecte l'écosystème terrestre. Ce défi majeur doit être abordé sur plusieurs fronts. Notre équipe à l'Université 91Ë¿¹ÏÊÓƵ a mis au point une nouvelle technologie qui nous permet de surveiller les nano et microplastiques en temps réel dans divers environnements. Cette innovation nous permet de repérer rapidement les zones d'accumulation de plastique et de comprendre ce qu'il advient du plastique au fil du temps. En fin de compte, ces connaissances peuvent aider à développer des stratégies plus ciblées pour atténuer la pollution. »Ìý

Parisa Ariya est professeure James 91Ë¿¹ÏÊÓƵ nommée conjointement au Départements des sciences atmosphériques et océaniques et de la chimie. Cheffe de file mondiale dans l'étude de la transmission des bioaérosols, ses recherches explorent les principales questions de recherche fondamentale et appliquée sur les aérosols et les polluants gazeux et les métaux-traces, en rapport avec l'atmosphère terrestre et la santé humaine.Ìý

parisa.ariya [at] mcgill.ca (anglais, français)Ìý

Christopher Labos, associé, Organisation pour la science et la société ÌýÌý

« En ce qui concerne les nanoplastiques et les microplastiques, il est évident qu'ils sont présents dans l'environnement, dans l'approvisionnement en eau et dans notre alimentation. Il est également évident que l'on peut en détecter des traces dans les tissus humains. Mais les preuves qu'ils provoquent des maladies chez l'homme manquent encore, et l'hétérogénéité des données de recherche ne permet pas de déterminer avec certitude l'ampleur de la menace qu'ils représentent. Ce défi a été décrit en détail dans . »Ìý

Christopher Labos est cardiologue et titulaire d'une maîtrise en épidémiologie et associé au sein de l’Organisation pour la science et la société. Il est également co-animateur du podcast primé The Body of Evidence et auteur du livre Does Coffee Cause Cancer?ÌýÌý

christopher.labos [at] mcgill.ca (anglais, français)  ÌýÌý

Nouvelles recherches sur le développement durable de l'Université 91Ë¿¹ÏÊÓƵÌý

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